Un combat … deux camps – Citations

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Tu es Pierre et sur cette Pierre je bâtirai mon Église et les portes de l’enfer ne prévaudront pas contre elle.
Matthieu 16,18

Car ce n’est pas contre des adversaires de sang et de chair que nous avons à lutter, mais contre les Principautés, contre les Puissances, contre les Régisseurs de ce monde de ténèbres, contre les esprits du mal qui habitent les espaces célestes.
Ephésiens 6, 12

Qui n’est pas avec moi est contre moi.
Luc 11, 23

N’allez pas croire que je sois venu apporter la paix sur la terre ; je ne suis pas venu apporter la paix, mais le glaive.
Matthieu 10, 34

Le défi auquel nous devons faire face, à la veille du troisième millénaire, est ardu : seule la coopération harmonieuse de tous ceux qui croient dans la valeur harmonieuse de la vie pourra éviter un échec de civilisation, aux conséquences imprévisibles.

Jean-Paul II
Evangelium vitae

« L’objet contre lequel l’adversaire dirige, aujourd’hui, ses assauts, ouverts ou dissimulés, n’est plus, comme ordinairement dans le passé, l’un ou l’autre point particulier de la doctrine ou de la discipline de l’Église, mais l’ensemble de la doctrine et de la morale chrétiennes jusqu’à leurs dernières conséquences. En d’autres termes, il s’agit d’un assaut total. Il s’agit d’un oui absolu ou d’un non absolu. Dans ces conditions, le vrai catholique doit rester d’autant plus ferme et inébranlable sur le terrain de sa foi catholique et le montrer dans sa conduite. Dans la chaleur de la lutte, un christianisme purement extérieur et de pure forme fond comme la cire au soleil. »

Pie XII
Allocution à la Jeunesse catholique italienne – 20 avril 1946

Au fond, le monde n’a jamais eu peur que des saints en qui sa clairvoyance reconnaît des êtres trop simples, irréductibles, c’est-à-dire impossible à encadrer solidement ; de véritables ravisseurs d’âmes.

Bernanos
Le crépuscule des vieux

« Ce monde merveilleux est le théâtre d’une bataille sans fin pour notre dignité et notre identité d’êtres libres. Cette bataille évoque celle de l’Apocalypse. C’est un combat contre les œuvres des ténèbres, contre le diable, prince de ce monde et père du mensonge, qui tente d’éradiquer du cœur humain le respect pour ce don fondamental de Dieu : la vie. »

Jean-Paul II
Denver – Colorado – Août 1993

S’épauler pour arriver, pour voler, à l’occasion pour tuer impunément, bref pour se servir, tel est le but ; décréter les vacances de la légalité, de la justice, de la conscience voilà les moyens invariables comme la rotation de la terre.
Mais il était réservé à notre société de voir cet art porté à son point de perfection par la Franc-Maçonnerie. Sa tactique immuable : traiter la foule comme un fumier voué à la fructification de l’arbre maçonnique, flatter ses passions, déchaîner ses appétits puis la fusiller et s’évader en un obscur réseau de mensonges et de tartuferies…
L’Église paye régulièrement les frais, otage toujours disponible, car sa vocation est de prêcher, sans feinte, des choses déplaisantes, de combattre les passions, de montrer impérieusement les chemins qui montent… Mais si nous le voulons, si le sel ne s’affadit pas, l’échec transitoire aboutira à un triomphe d’autant plus éclatant que les ténèbres de la neuvième heure auront été plus denses.
Immense victoire, si l’élite par qui vit le monde, en vient à voir, à la lueur de la foudre, qu’en dehors de la civilisation chrétienne, il n’y a rien que chaos; que les plus belles Déclarations des Droits de l’Homme sont un mince vernis sur la bestialité humaine, qu’au premier conflit d’intérêts l’homme redevient un loup pour l’homme, que l’éternelle lutte des Deux cités dont parle saint Augustin après saint Jean, se circonscrit partout et toujours entre le Bien et le Mal, Dieu et Satan, entre la liberté des fils de Dieu et l’esclavage des fils du Très bas ; entre la Société où l’on sert à la suite du Christ Serviteur et celle où on se sert et s’avilit à la suite de l’Antéchrist.

Albert Bessieres SJ.
Sers

La lutte est engagée, la mêlée est opiniâtre ; et encore que Dieu doive demeurer victorieux et partout et toujours, nous souhaitons que les croyants ne soient jamais en retard. A l’œuvre, leur dirons-nous, et si ceux qui ont perdu la foi travaillent pour Babel, nous croyants, édifions Jérusalem.

Père Emmanuel
Lettre à une mère sur la Foi

Le combat entre le Christ et les pharisiens est grave parce que ce sont deux religions qui s’affrontent, et qu’il n’y a pas de pardon pour le vaincu. Il n’y a pas de pardon pour le Christ : les pharisiens ont reconnu que c’était un grand homme, peut-être même un prophète, mais ils n’ont pas pu accepter sa doctrine. Et celui qui condamne la pensée de Dieu finit par condamner Dieu lui-même. Quand la pensée de Dieu se présente trop nettement, et que cette pensée condamne ses œuvres et sa propre pensée, alors, mis au pied du mur, il est acculé à condamner Dieu pour ne pas céder : c’est le péché contre le Saint-Esprit.

Père Molinie
Le courage d’avoir peur


N’ayons pas peur des autres, du monde, de la vie – ayons peur de nous. Pas de ce qui nous fait peur généralement – notre faiblesse, nos fautes, nos chutes (ce n’est pas redoutable, c’est la nature humaine) : ce qu’il faut redouter, c’est ce que Jésus reproche aux Apôtres après la Résurrection : « Vous avez le cœur dur. – Pourquoi ?- Vous ne croyez pas que je suis ressuscité. Vous ne le croyez pas, parce que c’est trop beau : là est votre faute. » Demandons de ne pas nous entêter trop longtemps…

Père Molinie
Le courage d’avoir peur

Veuillot lui, avait renoncé dès sa conversion à tout espoir de carrière et de succès social. Il avait renoncé à tout… sauf peut-être à« la joie d’en découdre » : «Vie de guerre, écrit-il dans la préface d’un recueil de nouvelles, Les Nattes, en avril 1844, vie d’aventure, vie de merveilles et d’espérance ! Quiconque a goûté de cette vie n’en voudra point d’autre : Israël, que tes tentes sont heureuses ! O Jacob ! Qu’ils sont beaux, tes pavillons ! »

Benoît Le Roux
Louis Veuillot, un homme, un combat

Mourir ou aimer Dieu : je n’ai pas d’autre désir. La mort ou l’amour : car vivre sans aimer est pire que la mort: cela me serait plus insupportable que la vie présente (Ep 1, 841).

Padre Pio

DANS LE COMBAT… LA FRANCE

PRIÈRE DES FRANCS,
dite de Saint Louis

«Dieu tout puissant et éternel, qui avez établi l’empire
des Francs pour être dans le monde l’instrument de votre
sainte Église : Que toujours et partout nous soyons,
nous, fils de France, touchés du rayon de votre céleste
lumière ; que nous prenions conscience de ce qu’exige
de nous l’avènement de votre règne ici-bas ; et que pour
réaliser l’œuvre que vous nous montrez, charité et
vaillance s’affermissent à jamais en notre cœur ! »

PRIERE DE MADAME ELISABETH DE France

« Reprenez, O Vierge Sainte, vos premiers droits sur la
France tout entière, rendez-lui la foi; rendez-lui votre
ancienne protection. Rendez-lui la paix; rendez-lui,
rendez-lui Jésus-Christ qu’elle semble avoir perdu…
Enfin, que ce royaume de nouveau adopté par Vous
redevienne tout entier le Royaume de Jésus-Christ. »
Ainsi soit-il.

« Soyez fidèles à votre traditionnelle vocation !
Jamais l’heure n’a été plus grave pour vous en imposer le
devoir, jamais heure plus belle pour y répondre.
Ne laissez pas passer l’heure, ne laissez pas s’étioler
des dons que Dieu a adaptés à la mission qu’il vous
confie ; ne les gaspillez pas, ne les profanez pas au
service de quelqu’autre idéal trompeur, inconsistant ou
moins noble et moins digne de vous… »

Sa Sainteté Pie XII
Paroles prononcées à Notre-Dame de Paris, juillet 1937, et rappelées
textuellement par le Souverain Pontife dans sa lettre aux Cardinaux
français, Février
1945.

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