1. Vive Henri IV !
Vive ce roi vaillant !
Vive Henri IV!
Vive ce roi vaillant!
Ce diable à quatre
A le triple talent
De boire et se battre
Et d'être un vert galant.
2. Au diable guerres,
Rancunes et partis !
Au diable guerres,
Rancunes et partis!
Comme nos pères
Chantons en vrais amis,
Au choc des verres
Les roses et les lys.
3. Vive la France !
Vive le roi Henri !
Qu'à Reims on danse,
En disant comme Paris :
Vive la France !
Vive le roi Henri !
Vive la France !
Vive le roi Henri !
4. Chantons l'antienne
Qu'on chantera dans mille ans ;
Que Dieu maintienne
En paix ses descendants
Jusqu'à ce qu'on prenne
La Lune avec les dents.
Jusqu'à ce qu'on prenne
La Lune avec les dents.
1. La route est dure sur la montagne,
Mais nous allons pleins de courage.
Dans l’ouragan nos cœurs qui chantent
Sont délivrés de leurs tourments,
Dans l’ouragan nos cœurs qui chantent
S’enivrent de joie et de vent.
Sur les monts tout puissants
On n’entend que le vent
On ne voit que le ciel
On ne sent que le soleil
Au revoir, au revoir
Nous allons chercher le vent
2. Le pic se dresse loin de la terre
Et nous marchons vers la lumière
Neige et soleil, montagnes aimées
Dans la splendeur de l’ouragan
Neige et soleil, montagnes aimées
Soyez bénis pour vos présents !
3. Le jour est sombre sur notre France
Mais nous allons plein d’espérance
Et tous unis nous voulons vaincre
Le désespoir et le malheur
Et tous unis nous voulons vaincre
Le mal, le plaisir et la peur
Se canto, que canto
Canto pas per you
Canto per ma mio
Qu’es al lent de you
Aquelos montagnos
Qué tan aoutos sount,
M’empatchon de bésé
Mas amous oun sount
Debat ma fenestro,
Ya un aousélou
Touto la neî canto,
Canto sa cansou.
Baïssas bous mountagnos
Planos aoussas bous !
Perque posqui bésé
Mas amous oun sount.
Aquélos mountagnos
Tant s’abacharan
Mas amourettos
Se rapproucharan.
S’il chante, qu’il chante
Chante pas pour moi
Chante pour ma mie
Qui est loin de moi.
Ces fières montagnes
A mes yeux navrés,
Cachent de ma mie
Les trait bien aimés.
Dessous ma fenêtre
Y a un oiselet
Toute na nuit chante
Chante sa chanson
Baissez-vous montagnes,
Plaines haussez-vous
Que mes yeux s’en aillent
Où sont mes amours
Les chères montagnes
Tant s’abaisseront
Qu’à la fin ma mie
Mes yeux reverront.
La la la la la la la la
Zatiebiebia roednaïa
Ouvass dieva sviet’taïa
Prochtiai trouba zoviot
Saoldati Fprorod
1. Le peuple russe souffre la passion
Mais sa résurrection
Fera trembler le rouge bastion
Et prendront fin ces temps de persécution.
2. Quand les évêques et le Saint Père
Feront la consécration ?
Dans les goulags les martyrs l’espèrent
Mais quand donc s’accompliront ces prédictions ?
3. Dans les ténèbres brûlent des cierges
Pour la Russie glorieuse
A Fatima l’a promis la Vierge
Du Kremlin Elle sera un jour victorieuse.
Lalala…
4. Russie libre en chrétienté
Retrouvant l’unité
Paix, justice et prospérité
Pour les nations retrouvant leur liberté.
5. La Chrétienté enfin unie
Libérera la Terre
Pour le Christ et la Vierge Marie,
Devant qui tous fléchiront genoux en terre
6. Dieu éclairera le clergé rebelle
Aux demandes de la Reine
Qu’il entende enfin vos appels
Que votre divin cœur triomphe de la haine
Lalala…
7. Frères persécutés des glacis,
Sachez nous pardonner
L’Ostpolitik, les Yaltas communistes
Le mépris de ceux qui vous ont aliénés.
8. Camarades solidaristes
Brandissons les tridents
Pour abattre les régimes communistes
Et unir l’Europe centrale à l’occident.
9. Bannières levées il faut partir
Combattre les sections
Marchent avec nous les héros, les martyrs
Tués par la sinistre Révolution.
1. Réveillez-vous Picards,
Picards et Bourguignons.
Apprenez la manière d'avoir de bons bâtons,
Car voici le printemps et aussi la saison
Pour aller à la guerre donner des horions.
2. Tel parle de la guerre
mais ne sait pas que c'est:
Je vous jure mon âme que c'est un piteux faict
Et que maint homme d'armes et gentil compagnon
Y ont perdu la vie, et robe et chaperon.
3. Où est ce duc d'Autriche?
Il est en Pays-Bas
Il est en Basse Flandre avec ses Picards
Qui nuit et jour le prient qu'il les veuille mener
En la Haute Bourgogne pour la lui contester.
4. Quand serons en Bourgogne,
et en Franche Comté,
ce sera qui-qu'en-grogne le temps de festoyer
bout'ront le roy de France, dehors de ces costeaux
et mettrons dans nos panses le vin de leurs tonneaux
5. Adieu, adieu, Salins,
Salins et Besançon
Et la ville de Beaulne, là où les bons vins sont
Les Picards les ont bus, les flamants les paieront
Quatre pastars la pinte ou bien battus seront.
6. Nous lansquenets et reîtres
et soudards si marchons
Sans finir de connaître où nous arriverons,
Aidons Dame Fortune et destin que suivons
A prêter longue vie aux soldats Bourguignons.
7. Quand mourrons de malheur
la hacquebutte au poing
Que Duc nostre Seigneur digne tombeau nous doint
Et que dedans la terre où tous nous en irons
Fasse le repos guerre aux braves bourgignons
8. Et quand viendra le temps
où trompes sonneront
Au dernier Alahau, quand nos tambours battront
nous lèveront bannières aux ducque bourgignon
Pour aller à la guerre donner des horions.
1. Dans les rues du village accablé
Et mon cœur a frémi à leur pas lourd
Sur les bords de la Red River Valley
O Seigneur la roue tourne entre tes mains
Où je vais aujourd’hui je ne sais
O Seigneur la roue tourne entre tes mains
Mais je veux retrouver les pionniers
2. Les pionniers ont peiné pour le village
A leurs mains la vallée s’est pliée
Et mes yeux ont vu naître un barrage
Sur les bords de la Red River Valley
3. Les pionniers ont marqué dans la clairière
Que le pain se partage entre tous
Et ma main s’est ouverte à mes frères
Sur les bords de la Red River Valley
4. Les pionniers ont chanté dans la nuit claire
Que la terre est à qui la voulait
Et ma voix s’est unie à leur chant fier,
Sur les bords de la Red river Valley
5. Les pionniers ont promis de revenir
L’herbe pousse aujourd’hui à nos pieds
Et mon cœur s’est trouvé fait pour servir
Sur les bords de la Red River Vall
1. Les oies sauvages vers le Nord, Leurs cris dans la nuit montent, Gare au voyage car la mort, Nous guette par le monde, Gare au voyage car la mort, Nous guette par le monde (bis)
2. Au bout de la nuit qui descend, Voyage grise escadre, L'orage gronde et l'on entend, La rumeur des batailles, L'orage gronde et l'on entend, La rumeur des batailles (bis)
3. En avant vole grise armée, et cingle aux mers lointaines, Tu reviendras, mais nous qui sait, Ou le destin nous mène, Tu reviendras, mais nous qui sait, Ou le destin nous mène (bis)
4. Comme toi toujours nous allons, Grise armée dans la guerre, Murmure nous si nous tombons, La dernière prière, Murmure nous si nous tombons, La dernière prière (bis)
1. Nous étions au fond de l'Afrique Gardiens jaloux de nos couleurs Quand sous un soleil magnifique Retentissait ce crie vainqueur En avant ! en avant ! en avant!
C'est nous les Africains Qui revenons de loin. Venant de nos pays Pour sauver la patrie Nous avons tout quitté Parent, gourbis, foyers, Et nous gardons aux cœur Une invincible ardeur Car nous voulons porter au et fier, Le beau drapeau de notre France entière Et si quelqu'un venez à y toucher, Nous serions là pour mourrire à ses pied Battez tambours à nos amours Pour le pays, pour la patrie, Mourir au loin, c'est nous les Africains
2. Pour le salut de notre empire Nous combattons tous les vautours La faim, la soif nous font sourire Quand nous luttons pour nos amours En avant ! en avant ! en avant !
3. De tous les horizons de France Groupés sur le sol Africains Nous venons pour la délivrance Qui, par nous se fera demain En avant ! en avant ! en avant !
4. Et lorsque finira la guerre Nous reviendrons à nos gourbis Le cœur joyeux et l'âme fière D'avoir libéré le pays En criant, en chantent en avant !